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Bien choisir ton coach

Dernière mise à jour : 8 mars 2022

Sur le chemin vers toi, vers ton EssenCiel, tu auras peut-être besoin de te faire accompagné.e.

Alors choisir ton coach, c'est aussi important que choisir ton médecin de famille.





La profondeur du vécu

Bien choisir son coach est essentiel, une personne qui saura comprendre qui tu es, ressentir ce dont tu as besoin et te donner l’impulsion d’aller là où tu souhaites, parce qu’elle aura vécu les étapes qui t’attendent.


Par exemple, si tu as envie de performance, tu choisiras probablement un ancien sportif de haut niveau.

Si tu souhaites mieux te connaître (suite à un burn-out ou une perte de sens par exemple), et retrouver un mieux-être , tu choisiras plutôt une personne qui aura vécu des changements de cap dans sa vie, une expérience qui lui aura demandé de se recentrer sur sa raison d'être .


Ainsi, avant de décider, tu peux lui poser des questions sur son parcours, son histoire, ses expériences, etc.


C'est exactement ceci qui donne de la profondeur à son âme, et donc à son accompagnement individuel et de fait, au chemin que tu vas parcourir avec cette personne.


Ce qui fait la profondeur et la pertinence d’un.e coach, c’est son histoire, ses expériences de vie, la manière dont elle a dépassé les épreuves et transformé ses propres peurs, croyances ou conditionnements , dans le champ de compétences que tu lui demandes.


C’est le chemin qui lui a permis de de surmonter ses doutes et comprendre ses propres émotions, quelle personne elle est et comment elle a découvert son EssenCiel .






Les outils ne sont que des outils !

Aussi efficaces soient-ils, les techniques de profilage, l’analyse transactionnelle, l’hypnose, la naturopathie, la communication non violente, la pleine conscience, etc. ne sont que des outils.


Un outil n’est efficace que si la personne qui l’utilise l'a expérimenté auparavant avec elle-même.


Un.e coach peut être sur-diplômé.e ou sur-certifié.e, mais ce sont ses expériences, voire ses douleurs, qui lui permettent d'éprouver ce qu'elle a appris en théorie. A défaut, son enseignement ne se résumera qu'à des préceptes qu'elle te demandera d'appliquer.


Il lui manquera alors :

  • l'empathie du travail que tu t'apprêtes à entreprendre

  • la congruence entre la théorie et le vécu incarné

  • l'a justesse de ces propos et de ses exemples


Par exemple, lors de ma certification en Communication Non Violente , j'ai été au contact de 2 types de personnes :

  • celles qui appliquaient stricto sensu le processus de la demande claire. Leurs propos étaient impeccables mais manquaient d'authenticité. Cela aurait pu passer pour de la manipulation, c'est-à-dire obtenir ce qu'elle souhaitait.

  • celles qui exprimaient à partir de leurs émotions réelles, ce qui provenait de leur ventre. Leurs propos étaient plus sincères, plus vraies. Ces personnes avaient compris que tout partait d'elle. Elles cherchaient réellement le compromis.


« En somme, ce qui fait la qualité et la pertinence d'un coach, c'est le chemin qui lui a permis d'être congruent, de s'aligner avec son cœur, son âme et son corps. C'est précisément cela qui lui a permis de s'approprier les outils dont il dispose. ».




Un coach n'est pas un psy !

Le coaching et la psychologie sont 2 expertises complémentaires, mais très différentes.


Avec ton psychologue, tu pourras faire ta psychanalyse, comprendre ton histoire, ce qui précisément t'a fait du mal.


Le coach, lui, te met en mouvement, dans l'action.

Lors de son écoute, il ne prendra que ce dont il aura besoin pour te mettre en mouvement, et c'est dans le mouvement et l' expérimentation que tu retrouveras de l'énergie, jusqu'à ce que tu sois autonome dans ta "prise en charge".


Alors, ça peut piquer mais c'est forcément apprenant !

Le coach ne fait à ta place, le résultat ne dépend que de l'investissement et l'énergie que tu mettras au service de ton développement personnel.


« Tu peux avoir le meilleur coach du monde mais c'est ton énergie et ton investissement qui détermineront le résultat de ton accompagnement. ».





Avec toi,

Sophie







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